
Il y a des journées que l'on ne peut raconter. Le temps passe et l'on ne s'en aperçoit pas, perdus entre terre et mer quelque part où l'on se sent appartenir à un autre monde. On prend possession des lieux, on s'y enracine, ou s'y enroche. Pour se faire la nature avait composé avec nous ; la mer était calme, l'air extrèmement doux. Quand nous sommes rentrés tard ce soir là nous étions apaisés par notre accomplissement de la journée, sereins. Seules 3 âmes aussi folles que nous nous rencontrâmes au creux d'une niche!