Le pic de Bure invite au voyage mais reste un coin sauvage et austère. Au départ c'est portage de printemps jusqu'au croisement des 2 cols puis quand on entame la combe et quelques passages assez raides, le vent commence à souffler. Il nous coupera le souffle près du col, aussi on n'ira pas jusqu'à Bure. Très vite le temps a viré et bientôt c'est rafales de vent, neige, brouillard...sauve qui peut. La descente, sauf que la neige a regelée grrrrrr et c'est verglas...plus bas c'est bon! Ouf ça fait du bien!